Beaucoup de nos collègues et amis sont "engagés" dans le bénévolat au sein de toutes sortes d'associations ;

J'en ai trouvé quelques uns en parcourant les journaux et j'ai voulu leur rendre un petit hommage ! Vous pouvez bien sûr me faire parvenir des photos, des commentaires concernant des camarades qui donnent leur temps pour le mieux-vivre de tous !

Je glisserai aussi dans cette rubrique des articles qui vous parleront de la Meuse.

Merci !

F. LAMBERT   

Est Républicain 20/11/2024

Est Républicain 06/07/2024

Journée Nationale de la déportation (Est Républicain)

AEL avec Michel RIES  (promo Kennedy, Président )  et son épouse Agnès PIERRARD (promo Mirage).

Est Républicain 12/10/2024

Est Républicain 12/10/2024

Est Républicain 18/08/2023

Envoi de Jean-Paul BRIAT

Hommage à Henri BORNER promo Caravelle 1960/64

"Mes villages à l'heure allemande"

Notre collègue Jean-Jacques BRIARD (promo AZUR 1948/52) a publié ce petit ouvrage pour ses enfants et petits-enfants afin qu'ils gardent le souvenir de l'Histoire de leurs anciens. Ce sont les "Mémoires d'un enfant pendant la guerre". Il y raconte sa jeunesse à Sauvigny près de Vaucouleurs (55) où enseignaient ses parents, puis l'exode chez les Auvergnats à Saint-Pierre-Roche pendant 2 ans, ainsi que le retour au bercail alors que le village était toujours occupé.

14/06/2023 Jean-Paul STREIFF

décembre 2022 Nos collègues sont mis à l'honneur !

Octobre 2022

Est Républicain 27/10/2022

Est Républicain 20/10/2022

Est Républicain 17/07/2022

Est Républicain 13/07/2022

Pierre LEFEVRE promo Kennedy 1963/67

Michel RIES  (promo Kennedy 1963-67) toujours actif !

Quand l'école n'arrive plus à recruter de profs

INFOGRAPHIE - Cette année encore le nombre de candidats aux concours de recrutement d'enseignants a fortement baissé. La prime d'attractivité annoncée par Jean-Michel Blanquer en cette rentrée ne suffira pas à boucler les emplois du temps. Pour gérer cette crise des vocations, l'Education nationale multiplie les recours aux contractuels. Une solution forcément bancale. 


De 29 à 57 euros nets par mois. C’est le montant de l’augmentation que touchera une partie des enseignants à compter de février 2022. Tous ne seront pas concernés puisque Jean-Michel Blanquer a annoncé, en cette rentrée, privilégier le début et milieu de carrière, en retard d’environ 20% par rapport à la moyenne des salaires des professeurs de l’OCDE. Un professeur débutant qui percevait 1.700 euros nets par mois en 2020 va gagner 1.869 euros après les deux volets d’augmentation de 2021 et 2022. L’objectif du ministre est de parvenir à 2.000 euros nets mais ce sera sous un autre quinquennat. "C’est un montant que l’on atteint aujourd’hui après 13 ans de carrière", se désole Nicolas Glière, cofondateur du mouvement des Stylos Rouges. La grille des salaires des enseignants s’améliore en revanche nettement avec le passage à la hors classe qui permet d’atteindre 3.850 euros bruts en fin de carrière hors prime, mais il faut 53,2 ans en moyenne à un professeur des écoles pour l’atteindre.

 

Jean FOUCHET (promo Belle-Zebuth 52/56) propose :

> > > Comment est-ce possible ? ? ? ? ? ? ?

Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l'absurdité des directions écologiques dans lesquelles s'est engagée la France.

 

En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d'avenir pour sauver la planète prétendument en danger.

On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c'est la solution d'avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.

 

La sauver de quoi ?

On ne sait pas trop, mais il faut la sauver, nous serine-t-on !

À cette fin, la France s'est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais sans aucun discernement.

Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout miser sur l'électrique. Soit !

 

Mais qu'est-ce que cela signifie ?

D'abord, l'installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l'heure actuelle, ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.

Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation ...

Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s'attarder un instant.

 

À l'heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares.

Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.

 

Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.

Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d'étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel »

Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.

Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.

Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l'état pur.

 

Dans les minerais, il n'existe qu'en très faible proportion .

Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.

Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l'on déverse la plupart du temps dans la mer !

 

Mais qu'importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n'a pas de prix pour eux.

Extraction du lithium en Bolivie.

Il n'y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.

Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes.

Pour l'extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui entraîne une migration de l'eau douce vers les profondeurs.

Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d'eau.

 

Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu'on va chercher au Congo.

Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).

 

Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.

Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.

 

On fait donc des carrosseries en aluminium dont l'extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles issus du traitement de l'alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l'arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l'on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d'environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.

 

Voilà ce qu'est le développement « durable » selon nos écologistes. Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison !

 

Voir aussi à cette adresse :

https://www.juvelize.com/index.php/dernieres-infos/3776-le-canard-enchaine-sur-les-degats-du-developpement-durable

Pierre LEFEVRE

Une rencontre avec Pierre Lefèvre, Claude GERARD, Marie-Christine PEUZIAT et Arlette GUILLET autour de leur ouvrage

"Ligny-en-Barrois de 1945 à 1985 : Tout le monde descend".

"Connaissance de la Meuse"

J'aimerai vous donner envie de lire le N° 142 de "Connaissance de la Meuse" paru en septembre 2021.

Les quatre pages que j'ai scannées devraient vous inviter à en lire plus, elles nous concernent directement ainsi que d'autres articles qui y sont très interessants tel :

Une pensée pour Albert BERTRAND en édito, la vie de Pol JOLIBOIS instituteur, écrivain, combattant !

Dans les souvenirs d'un lycéen de Bar-le-Duc apparaissent deux noms de collègues et amis que j'ai bien connu : Bernard OUDOT et Christian VILLER qui y ont vécu les feux de la rampe !

A lire ! 

Le nouveau livre de Jean-Pierre Harbulot :

l’histoire des Thirion, une famille de résistants déportés Par François-Xavier GRIMAUD

 

Dans son dernier livre, consacré à une période dont il reste un spécialiste, l’historien barisien évoque la résistance meusienne à travers l’exemple d’une simple famille de Rosnes. Qui a payé cher son engagement au sein d’un groupe sévèrement réprimé.

C’est son « nouveau bébé ». Le fruit de ses recherches, et le résultat d’un long travail. Toujours aux Dossiers Documentaires Meusiens , l’historien barisien Jean-Pierre Harbulot vient de publier son dernier livre : « Résistance et déportation - Une famille meusienne dans la tourmente ». Il s’attache à une famille de Rosnes, les Thirion, dont le père et la mère, Auguste, alors directeur de la fromagerie locale, et Madeleine, ont trouvé la mort en déportation, alors que leur fils Charles est revenu du camp d’Auschwitz-Birkenau avant de mourir à seulement 31 ans en 1955.

Les Thirion, de ce qu’il a appris, ce sont des patriotes dès 1940 qui intègrent la résistance en 1943 dans le même réseau qu’Élise Longeaux ou Robert Aubry. « J’explique comment ils sont rentrés dans un groupe de résistance à Verdun. »

 

« Des petits rouages d’une grande chaîne »

Recrutés par le BOA (Bureau des opérations aériennes), un réseau pas connu mais qui assurait des livraisons d’armes depuis l’Angleterre et cherchait des groupes suffisamment structurés pour les réceptionner, les Thirion ont servi de points d’appui pour la préparation de parachutage en repérant des terrains pour. « C’est par des contacts qu’ils ont été intégrés », comme de nombreux chefs de petites entreprises. « Ils restaient des petits rouages d’une grande chaîne », précise Jean-Pierre Harbulot.

Ils n’ont pas pris la clandestinité, continuant à mener la même vie, on les croyait d’ailleurs pro-Allemands. L’occupant a fini par découvrir le poteau rose après des opérations de sabotage effectuées sur des canaux meusiens. Les services de police s’avérant efficaces, les premières arrestations de résistants ont eu lieu du côté de Verdun. Bien d’autres ont suivi dans le Sud meusien, dont tous les agents du BOA. « On ne sait pas trop pourquoi ils ont été interceptés. »

Un regard sur la résistance meusienne

Les Thirion l’ont été tous les trois le 19 février 1944 : Auguste à 16 h 30 à la fromagerie à Rosnes, comme en atteste un rapport de gendarmerie ; Madeleine et Charles à 18 h à Bar-le-Duc. Fernand, un fils plus jeune, a pu se cacher pour échapper à la Gestapo, avant de rejoindre sa sœur Anna en vacances à Paris. Ni l’un ni l’autre n’ont été ensuite inquiétés.

Jean-Pierre Harbulot : « À travers le parcours des Thirion, résistants et déportés, je porte un regard sur la résistance meusienne et la répression qu’elle a pu subir. » Implacable pour cinq membres dits du groupe Thévenon condamnés à mort par le tribunal de le Feldkommandantur 627, et fusillés à Behonne comme un monument le rappelle à la sortie du village.

Sur le monument aux morts en… 2017

Pour une vingtaine, ç’a été la déportation, parmi lesquels la famille Thirion, d’abord transférés à Nancy pour interrogatoire, mis en prison, avant de transiter soit par le camp de Compiègne début avril 1944 pour Auguste et Charles soit par le fort de Romainville pour Madeleine fin mars. Déportée à Ravensbrück, cette dernière a péri gazée en mars 1945 à l’âge de 55 ans. Le père et le fils, eux, ont pris la direction d’Auchwitz, puis ont été transférés à Buchenwald : c’est là que le premier, affaibli et sans soin, s’est éteint en septembre 1944 dans les bras du second.

 

Ils n’ont jamais bénéficié de plaque leur rendant hommage. Il faudra attendre 2017 pour que Charles Thirion soit inscrit sur le monument aux morts avec la mention « Mort pour la France », puisque consécutive à sa déportation.

« Un travail méticuleux » de recherches

C’est après avoir été contacté il y a de cela plusieurs années par Jean-François Thirion, le fil de Charles, lui faisant part d’un certain ressentiment, que Jean-Pierre Harbulot s’est « attaqué » à cette histoire singulière. Spécialiste de la 2e Guerre mondiale, « je connais bien les sujets de la résistance et de la déportation » souligne-t-il.

À l’aide de 200 documents, la plupart inédits et souvent en couleurs : plans, photos, lettres, il détaille l’organisation des camps et décrit l’univers concentrationnaire dans lequel les Thirion se sont retrouvés.

S’il a eu accès à de nombreuses archives, « j’ai écrit partout, je me suis déplacé à Paris et à Caen ». Internet a facilité son travail de recherches mais « il faut savoir critiquer, trier, vérifier » les sources.

Si son expérience de chercheur lui a fait gagner du temps, ç’a été « un travail méticuleux ».

 

« Résistance et déportation - Une famille meusienne dans la tourmente » aux Dossiers Documentaires Meusiens, 190 pages, 22 €.

22/07/2021 Simone CANONGE a100 ans

Andrée AGNIEL-BOULONNE promo Lorraine 1942-46

Est Républicain du 26 juillet 2020

Petit souvenir de JP Briat 62- 66 (ou 7, je crois !)

De bonnes têtes de vainqueurs….

J’ai appris avec émotion le décès de Jackie Hedin dit « Bouboule » - allez savoir pourquoi !- Nous partagions une passion commune : le sport ! et tout particulièrement les cross hivernaux dans le petit bois derrière l’EN. Pol Bouvier, notre prof de « sport », nous lançait dans le bois pour un grand tour sur les feuilles mortes, puis nous attendait gentiment, chrono en main, pour le retour… et l’idée nous est venue un jour de faire de même : attendre !

Nous partîmes à deux et revînmes de même. Après quelque 300 mètres parcourus, nous nous enfonçâmes dans un fourré où la Dame, le Roi et le Valet se comptèrent fleurette. Les cartes bien chaudes et nos mollets gelés décidèrent  enfin que le temps était venu de regagner la douce chaleur de la classe, les autres devant être arrivés depuis belle lurette, les poumons exsangues et le pouls affolé. Par un raccourci bien connu, nous regagnâmes le chemin côté arrivée et nous mîmes en état de course, le souffle court et l’haleine fumante. Epuisés par cette longue épreuve, nous nous écroulons et c’est alors que Pol nous lâche, avec un soupçon d’ironie dans la voix : « Bravo les gars, vous êtes les premiers ! » Un grand moment de solitude !!! Notre horloge biologique avait traîtreusement devancé l’appréciation de nos montres.

Et « le Pol » dans sa grande magnanimité avec un petit air narquois de nous lancer « allez vous réchauffer, vous l’avez bien mérité ! » (ou quelque chose comme ça).

Morale de l’histoire : quand tu ne sais pas compter, tu cours comme les autres !!

 

Salut mon vieux Bouboule ! tu te souviens ? ça nous a quand même bien fait marrer ! ….. après !

Michel RIES Promo Kennedy 1963-67

Roland WILLOCQ (promotion 1962-66) nommé Chevalier de l’Ordre National du Mérite.

 

Commercy le 13 octobre 2018 : Pour le récipiendaire, cette médaille ne le distingue pas lui, mais aussi tous ceux qui, avec lui, travaillent à résoudre les problèmes des jeunes accueillis en protection de l’enfance. C’est bien cette préoccupation qui avait amené ce gamin de l’assistance à créer en 1977, l’Adepage (Association Départementale d’Entraide des Personnes accueillies en Protection de l’Enfance) de la Meuse, devenue aujourd’hui l’association « Coup d’Pouce » qu’il préside toujours. Depuis, il a rejoint, comme premier vice-président, le bureau de la fédération nationale. Félicitations à notre collègue.

 

Hommage à René YBERT

Les Lorrains de l'île Maurice.

Un petit morceau de Meuse en Marne ! Au lac du Der.

 

(Est Républicain 31 juillet 2018) 

« Ici, c’est chez nous. Tout ce que l’on voit nous appartient », prévient Gilles Taguel, le président de la Ligue de l’enseignement de la Meuse. 

Au Der, on n’est pourtant plus dans le département, et pourtant on y trouve une enclave meusienne, située sur la presqu’île de Rougemer, à Giffaumont. C’est là que s’est développée la base nautique et de loisirs Yves Chaupin, gérée par Ligue de l’enseignement 55 depuis la mise en eau du lac, le plus grand plan d’eau artificiel d’Europe, en 1974. Elle a été baptisée du nom de ce dirigeant emblématique à l’origine de sa réalisation. 

Elle a d’abord été logée dans l’ancienne école de Giffaumont, au cœur du village. Le maire de l’époque avait accueilli les Meusiens à bras ouverts. « Les Marnais et Haut-Marnais ne se sont pas intéressés au Der pendant longtemps », estime Laurent Arnicot, le directeur du site depuis 1986, qui y était précédemment venu en stage. « Les premiers bateaux étaient la propriété d’enseignants qui faisaient de la voile », raconte-il, « et qui cherchaient où naviguer. » Ils se sont impliqués et ont formé un réseau. 

La vente d’un terrain pour le franc symbolique a permis l’édification d’un premier centre d’hébergement de 40 places ouvert en 1987. Alors que s’esquissait le projet de l’agrandir, le syndicat mixte du Der, qui voulait édifier sa station nautique, a proposé de racheter le bâtiment et de construire, avec le produit de la vente, un nouveau centre d’hébergement de 75 lits, en service depuis 1997. « Mais on a continué à gérer l’ancien via une DSP (délégation de service public). » Ce qui offre une capacité d’accueil de 115 personnes. Il existe aussi un self pour la restauration de ceux qui viennent séjourner.

La création d’un centre de voile, qui fonctionne de mi-mars à fin octobre, permet d’organiser différentes activités nautiques : du bateau bien sûr, avec des petits catamarans et des Optimist, mais aussi du canoë-kayak et du paddle. Un gymnase, bâti par le syndicat mixte mais dont la gestion a été confiée à la Ligue de l’enseignement, un mur d’escalade et tout l’espace autour permet d’organiser de multiples activités. Laurent Arnicot : « On a eu la chance de faire évoluer l’outil. » Avec succès. 

« On est sollicité de toute part » 

De nombreux collectifs se succèdent toute au long de l’année : scolaires, séjours vacances, centres aérés, stages sportifs, clubs ou associations. « On a reçu une académie privée de basket, puis une académie de foot deux semaines de suite », rapporte Laurent Arnicot, en attendant un rassemblement de judo prévu. « Comme on est bien placé dans le Grand Est, on est sollicité de toute part. » Le taux de remplissage est élevé tout au long de l’année, avec un creux en décembre et janvier. 

Si beaucoup de groupes restent souvent du lundi au vendredi, il y a une forte demande aussi pour le week-end. Ainsi, pas ce dernier mais le précédent, une bande de marcheurs de Baâlon avait réservé pour 40 adultes, en même temps que « débarquait » une société d’aviron venue s’entraîner. La stratégie, c’est de « ne jamais mettre tous ses œufs dans le panier », bref de diversifier la demande. Afin de continuer à pérenniser la présence meusienne au Der. 

François-Xavier GRIMAUD (Est Républicain)

 

GENEALOGIE

Ce serait un arrière-arrière...grand-oncle de notre collègue Jean François HARMAND (59-63).

Le saviez vous ?

 

 

Cliquer c’est polluer !

 

Surfer sur le Net a un réel impact écologique.

 

(Version Femina Est Républicain du 21/10/2018, par Fabien Trécourt)

  

4000 vols allers-retours entre Paris et New York :C’ est l’équivalent des e-mails envoyés chaque heure dans le monde. 

Voilà une photo de vacances à envoyer illico par e-mail en guise de carte postale. Net et sans bavure ?  Pas vraiment en réalité, c’est comme si vous aviez laissé une ampoule allumée pendant une heure, vidé un verre d’eau dans l’évier ou roulé une dizaine de mètres en voiture « On pense qu’Internet est immatériel, mais c’est faux », alerte Bela Loto-Hiffler, auteure du guide Les Eco-Gestes informatiques au quotidien , édité par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Toute l’infrastructure qui colporte vos messages consomme de l’énergie, elle-même produite par des centrales utilisant des ressources naturelles, rejetant des déchets et émettant des gaz à effet de serre. Même sans pièce jointe, un e-mail consomme 5 Wh d’électricité. A l’échelle mondiale, 10 milliards de messages sont échangés chaque heure, soit la consommation de 15 centrales nucléaires ou 4000 allers-retours en avion entre Paris et New-York.  

500 e-mails supprimés : C’est un arbre sauvé ! 

Combien a-t-on de mails archivés dans sa boîte durant des années… et que l’on ne relit jamais ? « Pour que vous puissiez accéder à ces courriels à n’importe quel moment, des centres de données fonctionnent en continu, même quand votre ordinateur est éteint », explique Edouard Nattée, créateur de l’application CleanFox, qui permet de supprimer automatiquement les messages inutiles, comme les vieilles newsletters. «A la louche, poursuit-il , un message stocké en ligne représente 10 g de CO2 par an.  Si vous en supprimez 500, c’est comme si vous sauviez un arbre ! » 

La consultation d’un site éco-conçu : C’est 700 fois moins de ressources utilisées !

Trop peu de start-up proposent des modèles éco-conçus, comme le « fairphone », pensé pour intégrer des contraintes environnementales. « Nous devrions accepter de revenir à des technologies moins performantes et mieux lutter contre l’obsolescence programmée », estime Françoise Berthoud, ingénieure au CNRS et directrice d’Ecoinfo. S’autant que le taux de recyclage des déchets électroniques est faible en France. En moyenne, sur 100 kg de métaux utilisés, seuls 18 sont récupérés. Même analyse coté logiciels : « Les éditeurs doivent apprendre à éco-concevoir leurs solutions en créant des sites comprenant le minimum de fonctionnalités possibles », préconise Frédéric Bordage, auteur d’Eco-Conception web : les 115 bonnes pratiques (Eyrolles). Par exemple, consulter l’horaire d’un train sur un site éco-conçu consommerait 700 fois moins de ressources que sur une page web inondée de publicités et de gadgets. 

1,5 million de km parcourus en voiture : C’est ce que représentent chaque année nos recherches sur le Net, rien qu’en France. 

Depuis plusieurs années,  l’Ademe ,  en France, ou Greenpeace, à l’international, tirent la sonnette d’alarme. La consommation d’électricité liée à Internet représente près de 10 % de la production d’énergie mondiale, et le chiffre a augmenté considérablement depuis le début des années 2000. Ecrire une requête et consulter quelques pages avant de trouver la bonne information dépense environ 10 g de CO2.  Multipliez par le nombre d’internautes et de recherches et nous voilà, par an, avec l’équivalent de 1,5 millions de km parcourus en voiture… rien qu’en France ! A l’échelle mondiale, les 4 milliards d’internautes pourraient atteindre ce seuil toutes les 10 à 20 minutes. 

« Et avec les outils numériques et technologiques qui continuent de se démocratiser pour stocker ou envoyer des données, c’est encore appelé à augmenter », prévient Bela Loto-Hiffler. 

La production annuelle d’une petite centrale : C’est ce que consomment les visionnages d’une vidéo sur YouTube. 

Selon Frédéric bordage, « le streaming est ce qu’il y a de plus polluant en termes d’usage ». A l’heure où les prises d’antenne sont délaissées au profit des box et des connexions sans fil, « voir un film de deux heures en haute définition sur son ordinateur ou  même sa télévision émet autant de gaz à effet de serre que de fabriquer, transporter et lire un DVD ». Selon Greenpeace, la vidéo en ligne capte actuellement deux tiers du trafic mondial sur Internet. Les clips les plus populaires (entre un et deux milliards de vues) brûlent à chaque fois l’équivalent de la production annuelle d’une petite centrale. 

Une minute de vidéo consomme l’électricité d’une pile standard, expliquent aussi les vidéastes de MinuteEarth (chaîne YouTube de vulgarisation scientifique). Or une plate-forme comme YouTube revendique un milliard d’heures de vidéos vues chaque jour à travers le monde ! « Aujourd’hui, renchérit Frédéric Bordage, on consulte de plus en plus de vidéos sur un Smartphone ou une tablette. Or se connecter en réseau 4G consomme vingt fois plus d’énergie que de chez soi en ADSL. 

Le choix d’un ordinateur recyclé  : C’est 1,5 tonne d’eau économisée. 

La fabrication des ordinateurs et des tablettes représente presque la moitié de la pollution liée au numérique. Selon l’Ademe, un poste fixe et son écran nécessitent 240 kg de combustibles fossiles, 22 kg de produits chimiques et 1,5 tonne d’eau. « S’il n’y a qu’un seul geste à retenir, enjoint Bela Loto-Hiffler, c’est d’entretenir son équipement le plus longtemps possible et d’acheter du matériel reconditionné ». D’autant que la durée de vie des ordinateurs a fortement diminué depuis les années 90. En cause, des logiciels toujours plus performants pour des machines qui évoluent moins vite. Selon Françoise Berthoud, « les éditeurs de logiciels cherchent à créer des fonctionnalités qui plaisent au grand public sans se préoccuper de l’impact environnemental.

 

Bernard AUBRIET (promo : 64-68)

Nos collègues au Congrès SNI à Lille en 1964

De droite à gauche : PERIGNON (secrétaire de section), René YBERT, Jean BOURGEOIS, Robert GROS puis la délégation de la Hte Marne.

PHOTO remise lors de l'A.G. par Robert GROS.

 

2016 Christian CLAUDEL (promo Caravelle 60/64)et son épouse Françoise exposent au festival international de MONTIER en DER

Sur la photo : un proto(Fernand LAMBERT), son carré(Christian CLAUDEL), et le carré du carré(Claude JEAN)...

Passionnés de photos, Christian et son épouse vous proposent de retrouver quelques uns de leurs albums sur le site  http://www.claudel-photos.com

Yvon VANNEROT Promo Belle-Zebuth 52/56

René JANVIER(1882-1916)

Yvonne GILBERT

Pierre LEFEVRE 63/67 et M.J.AMBARD

Jean François HARMAND promo 59-63 Lunik

Vice président de notre association

François DOSE et Mme Gilberte Guiot-Millery 

Daniel GAILLY promo 63/67 Kennedy

Association-plume.fr

vous trouverez sur cette photo, nombre de nos collègues écrivains !

Pierre LEFEVRE 63/67

histoire et généalogie avec André TROUSSLARD et Christian ROBERT

Christian ROBERT, promo Caravelle 60-64

Nonote centenaire.

Jean-Jacques BRIARD  promo AZUR 48-52

et Colette GOBERT-BRIARD promo Mistral 49-53